Né le 7 novembre 1913 à Mondovi en Algérie, Albert Camus est Fils d’une famille pauvre française. Il a perdu son père dans la bataille de la Marne dans la première guèrre mondiale en 1914. De son père, il ne connaître pas qu’une photographie.
Il sera élevé par sa mère, dans un appartement pauvre d’un quartier populaire d’Alger. Sa mère, d’origine espagnole, sourde et analphabète, fait des ménages pour nourrir ses deux fils, Lucien et Albert. Camus a grandi dans un environement pauvre à Argel. Néanmoins la pauvretè, Camus a eu une enfance heureuse grâce aux beautés des plages mediterranées.
Encouragé par ses professeurs, Jean Grenier (qui lui fera découvri Nietzche) et Louis Germain (qui lui dédiera son discours de prix nobel en 1957), Albert Camus a réussi faire ses études. Il déclare dans celui-ci un mot qui restera célebre : “Ma patrie, c’est la langue française”.
En 1934, il se marie avec Simone Hié, mais ils se séparont deux ans plus tard. À la même époque, il s’est engagé au parti communiste de la France. Il présente un diplôme d’étude supérieures sur les rapports de l’hellénisme et du christianisme, mais la tuberculose l’empêchera de passer l’agrégation de philosophie.
À cette époque là, il avait déjà la passion pour le théâtre et fonde la troupe de L’Équipe. Plus tard, Camus quitte le parti communiste et se marie avec Francine Faure. Ils s’installent à Paris, où il a débuté à écrire pour le journal de gauche “ Combat”, s’engajant à la résistence française dans la deuxième guerre. Camus continuera à militer en faveur des victimes de la lutte pour la liberté, et devient rédacteur en chef du journal Combat.
En 1942, Il a publié L’Étranger, roman qui fait partie de “ le cycle de l’absurde”. L’Étranger a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été realisée par Luchino Visconti.
Journaliste, militant de la résistance, essayiste, romancier et acteur dramatique, Camus se consacrera de plus en plus à sa carrière d’écrivain ; il reçoit le prix Nobel de la littérature en 1957. Cette carrière s’est trouvée prématurément brisée, en 1960, par l’accident d’automobile que coûta la vie à Camus.
Résumé général de L'Étranger
Meursault, le narrateur, est un jeune et modeste employé de bureau, à Alger. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo et assiste à la mise en bière et aux funérailles sans prendre l'attitude de circonstance que l'on attend d'un fils endeuillé.
En se reveillant, il a decidé de se baigner. Il est allé s’est bagné au bord de la mer. Dans l'eau, il a retrouvé Marie Cardona, une ancienne dactylo de son bureau . Ils ont fixé un rendez-vous le soir. Ils sont allés au cinéma, ensuite Marie est allée chez Meursault. Le jours prochain, il a passé beaucoup de temps en regardant, à la fenêtre, les gens qui étaient dans la rue.
Plus tard, il rencontre Raymond Sintès (un voisin de palier) qui l'invite à la plage. Ce dernier est souteneur et s'est montré brutal avec sa maîtresse mauresque, il craint des représailles. Sur la plage, ils croisent trois hommes dont l'un est le frère de la jeune femme. Une bagarre éclate. Peu de temps après, Meursault, accablé par la chaleur et la lumière, marche seul sur la plage et rencontre à nouveau l'un des hommes près d'une source de fraîcheur. L’Arabe - qui restera anonyme - sort son couteau, Meursault serre le revolver que Raymond lui a laissé. Abruti par la chaleur et la luminosité agressive de l'après-midi, ébloui par le reflet du soleil sur le couteau, Meursault tire une fois, tuant l’Arabe. Puis, quatre fois de plus, comme pour mettre fin à une existence heureuse. Ensuite il refuse de mentir à son procès et est condamné à la mort.
“O estrangeiro é a figura emblemática que se sente estranha a si mesma e a suas origens, mas não consegue se desligar desse universo do qual brotou sua consciência de estranhamento.”
(Manuel da Costa Pinto)
Le roman L’Étranger (paru en 1942), fait partie du “ cicle de l’absurde” , une trilogie que comprend aussi l’essai Le mythe de Sisyphe et la pièce de théâtre Caligula.
L’Étranger, c’est un roman à la première personne. Le romancier s’efface totalement derrière un personnage principal qui fait office de narrateur. Le titre faire rapport a le personnage principal ‘Meursault’, car il est étranger à la société dans laquelle il vit. Il se comporte comme si la vie n’avait pas de sens, Meursault est indifférent dans la société, il est un étranger dans le monde et le monde, n’avait pas de sens. Il retrace son existence médiocre, limitée au déroulement mécanique de gestes quotidiens et à la quête instinctive de sensations élémentaires.
La couverture du livre, montré un homme qui a resté seul. C’est-a-dire, la vie a repris son cours monotone et banal. La quatrième de couverture, c’est un extrait de la page 163 et 164 du roman, qui parle sur le jugement de Meursault, quand il est condamné à la mort.
Le roman est divisée en deux partie: Dans la première partie, il y a 6 chapitre, que commence quand Meursault est appelé à l’asile où sa mère vient de mourir. On peut constater ça dans l'extrait suivant:
« Aujourd’hui, mamam est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J’ai reçu un télégramme de l’asile (Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués). Cela ne veut rien dire. c’était peut-être hier ».(page 9)
C’est partie est fini, quand Meursault a tiré quatre balles sur le corps inerte de l’Arabe.
« Alors, j’ai tiré encore quatre fois sur en corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût. Et c’est comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » (page 95)
La deuxième partie a 5 chapitre, que parle sur les interrogations par le juge d’instruction, jusqu’au momment qu’il est en train de mourrir.
« (...) devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine". » (Page 186)
Meursault mène une vie monotone: tous les matin il va au bureaux où il travail, à midi il déjeune au restaurant de son ami Celeste, l'après midi il retourne au bureaux et à la fin de l'après-midi il rentre chez lui. Ça se répete tous le jours de la semaine. En plus, Meursault est corformé et indiferent aux choses du monde, ça veut dire qu'il ne se consterne pour rien, ni quand il a su de la morte de sa mère. On peut constater ça au début du roman.
Nous voyons comment il était indifférent à l'égard des sentiments. Il se sent comme un étranger dans la societé. Il ne croit pas en Dieu et trouve que ça c’est une chose sans importance.
L’Étranger peut être défini comme un roman philosophique, même si aucun système de pensée n’y est explicitement exprimé. Mais à travers le personnage de Meursault, plus complexe qu’il n’y paraît, Albert Camus nous présente ça conception du monde en 1942. L’auteur lui-même a insisté sur cet aspect dans la préface à la première édition américaine du roman:
" J'ai résumé L’Étranger, il y a longtemps, par une phrase dont je reconnais qu'elle est très paradoxale: 'Dans notre sociéte tout homme qui ne pleure pas à l'enterrement de sa mère risque d'être condamné à mort.' Je voulais dire seulement que le héros du livre est condamné parce qu'il ne joue pas le jeu. En ce sens, il est étranger à la société ou il vit, il erre, en marge, dans les faubourgs de la vie privée, solitaire, sensuelle. Et c'est pourquoi des lecteurs ont été tenté de le considérer comme une épave. (...) Meursault ne joue pas le jeu. La réponse est simple: il refuse de mentir."
L'Absurde
Quelque fois, dans une certaine forme, il pareil que Camus a dans ses oeuvres une philosophie existentialiste, mais son nom doit être associé a une doctrine personnelle; la philosophie de l’absurde.
Cette doctrine a été presentée par Camus dans “ Le Mythe Sisype, essai sur l’absurde” (1942) et a été « ilustré » dans le roman “ l’Étranger”.
Albert Camus croit que l’homme est libre, libre de vivre « sans appel ». Il croit que l’homme peut et doit profiter les belles choses de notre terre, de la vie. Mais, tout cela, est seulement possible avec la prise de conscience du non-sens de la vie.
Le sentiment de l’absurde se manifeste dans un homme que se sens un étranger dans sa propre vie. Un étranger dans le monde. La vie , sourtout, se base dans la passage du temp – aujourd’hui en fonccion du lendemain.
A partir de cette idée, Camus a crée le protagoniste de l’Étranger, Meursault; un homme froid et insensible, que a seulement la certitude de la mort. L’homme absurde vit le jour à jour.
La philosophie de l’absurde, pourtant, dit que l’absurde ne se trouve pas dans l’homme, ni extérieur à lui, mais il existera à partir du confront entre l’homme et la société. De ce confront surgira l’homme qui est un étranger en soi même. Cela, c’est nos première verité.
En revanche, Camus rejete les «atitudes d’évasion »; le suicide – que s’est la fin de la vie et de la conscience – et la religion – qui aliéne l’homme.
L’effet produit sur le lecteur par une telle narration, objective et déprimante, est cet écœurement qui, selon Camus, est une bonne chose, car il nous conduit au sentiment de l’absurde.
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